dimanche 30 mars 2014

TWTR


De l'eau a coulé sous les ponts depuis la triomphante entrée en Bourse de Twitter, au mois de novembre dernier. Le soudain tassement de ses utilisateurs lors du dernier trimestre de 2013 a mis en alerte les investisseurs. Il y a aujourd'hui près de 965 millions de comptes recensés. Mais il y a au moins trois fois plus de comptes dormants ou disparus que d'actifs.

Autre statistique alarmante : seulement 11 % des nouveaux arrivants sur le réseau social aux 140 caractères en 2012 sont encore présents moins de deux ans après ! A la fin de 2013, Twitter comptait chaque mois 241 millions d'utilisateurs actifs, contre 1,2 milliard pour Facebook et 200 millions pour le seul Instagram. Il en aura 270 millions à la fin de l'année, selon le cabinet Cowen & Co , alors que Instagram devrait, selon la même source passer à 288 millions.

 ....Pour redynamiser le réseau social, Dick Costolo, le PDG, s'est fixé comme priorité de faire revenir ou de « réveiller » les comptes dormants. En effet, selon une étude récente de la Deutsche Bank, 60 % des anciens utilisateurs se disent disposés à revenir sur le réseau social. Ceux qui ne l'ont jamais utilisé sont en revanche près de 50 % à répondre qu'ils n'ont aucune envie d'essayer. Au départ, Jack Dorsey, un des fondateurs du nouveau media, avait imaginé que celui-ci servirait, à la façon d'un Facebook, à entretenir des conversations et des liens avec ses amis orientés sur ses propres expériences de vie. En fait, ce n'est que la quatrième motivation des utilisateurs, avancée par 33 % d'entre eux. Largement en tête arrive la fonction d'information, pour 51 %, devant la découverte d'articles intéressants pour 37 % ou bien pour faire connaître à ses relations des choses marquantes pour 36,5 %.
Quant à ceux qui ont lâché leur compte, c'est parce qu'ils n'arrivaient justement pas à y trouver leur « compte ». Ce qui pourrait les convaincre de retenter l'expérience, disent 80 % d'entre eux, serait de pouvoir disposer de plus d'outils de filtrage et de classement. Dans cette optique, Twitter est en train de mettre au point un système de notifications push testées sur un compte expérimental appelé "event parrot" . Cette semaine, le réseau devrait introduire de premières innovations. Il sera possible, par exemple, d'adjoindre quatre photos à un tweet sans que cela se décompte du fatidique nombre limite de 140 caractères. Car la difficulté stratégique pour l'oiseau bleu, observe Mathew Ingram de Gigaom , c'est que cette brièveté est autant sa force que sa faiblesse. 

watch list

Le fond Torontois "venture" Pinetree Capital est en mode accumulation sur PTK.v
Ce qui explique la hausse de volume de Février et Mars 2014


POET Technologies Inc. is the developer of an integrated circuit platform that will power the next wave of innovation in integrated circuits, by combining electronics and optics onto a single chip for massive improvements in size, power, speed and cost. The company’s current IP portfolio includes more than 34 patents and 7 pending. POET’s core principles have been in development by Chief Scientist Dr. Geoff Taylor and his team at the University of Connecticut for the past 18 
years, and are now nearing readiness for commercialization opportunities.
http://poet-technologies.com

NFLX


Le gros "gap" du 23 Janvier est sur le point de se combler, avec une RSI très basse ....sera-t-il
le temps de faire un 'in' pour un rebond?

$334,44 - $377,49

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30%

C'était une pomme de discorde entre Apple et Microsoft, ce dernier a visiblement cédé sans obtenir aucune concession. Comme avec tous les autres développeurs, Apple touche bel et bien 30% sur les abonnements payés par les clients pour Office 365.
Cela représentera des sommes fort rondelettes chaque année et déjà les applications Office pour iPad de Microsoft sont premières sur l'App Store.
C'est également la preuve de l'importance de la plateforme iOS même pour Microsoft. 

La société peu encline à partager ses revenus a quand même préféré obtenir 70% de beaucoup plutôt que 100% de rien.

Yahoo possède 24% d'Alibaba....du beau cash pour un YATUBE


Tech website RE/CODE reported that Yahoo!  is working on a plan to build a competitor to the ubiquitous YouTube franchise that Google paid $1.65 billion for in late 2006. Just a guess, but Yahoo is likely to spend a lot more than that to get a competitive product out the door.
Still, the company and its CEO Marissa Meyer seem to be attacking in the right way. According to the reports, Yahoo is using the promise of more cash to lure the star talent and the popular YouTube channels away from Google and into the Yahoo fold. The interloper is trying to take advantage of the complaints by content providers that they don’t make enough money on YouTube.
That may be true, but the only way Yahoo can fix that is by paying more — probably a whole lot more. Yahoo is apparently telling video makers that it can offer better deals than YouTube either through better advertising revenue or guaranteed ad rates for the makers’ programming. Yahoo is also offering other inducements, including promotional space on the site’s heavily trafficked home page.
Yahoo has another problem. YouTube is not only the world’s leading streaming video site, but it is also the world’s leading music streaming site. Pandora Media, Spotify, Rdio, and the rest pale in comparison. How will Yahoo steal that business? Only at great cost.
At the very least, to dislodge the YouTube giant will require a massive investment in popular talent. Katie Couric’s addition to Yahoo’s stable was a start, but the company is going to need to do a deal with someone like Howard Stern at an enormous contract rate. Stern got $500 million from Sirius XM Holdings in his original five-year deal and a similar deal for the next five years through the end of 2015.  Stern will be available relatively soon, but he won’t come cheap.
When China’s Alibaba finally comes public, Yahoo stands to gain a warchest of $37 billion if it sells its entire stake. It will have the cash to spend on going up against YouTube, but YouTube is not without resources of its own. Google is sitting on cash and short-term investments of around $50 billion.

vendredi 28 mars 2014

MSFT


Microsoft  a dévoilé hier une version très attendue de sa suite bureautique Office dédiée à la tablette iPad d'Apple.
Office pour iPad marque une rupture avec la stratégie consistant à favoriser Windows au détriment des autres systèmes d'exploitation. L'arrivée de ce logiciel est aussi une ouverture sur le mobile, un changement voulu par le nouveau directeur général de Microsoft, Satya Nadella.
La nouvelle suite bureautique devait être mise à la disposition des utilisateurs d'iPad dès jeudi sur l'App Store, la plate-forme d'Apple de ventes des applications. L'application est téléchargeable gratuitement pour consulter des documents, mais un abonnement est nécessaire pour en éditer et en créer.
Si la version d'Office pour iPad présentée au cours d'une conférence de presse à San Francisco n'est en rien révolutionnaire, son lancement représente en revanche un pari pour Microsoft au moment où les ventes de PC reculent.
Office pour les tablettes tactiles était réservé jusqu'ici à la Surface de Microsoft, mais cette dernière n'a jamais réussi à faire de l'ombre à l'iPad.
Les analystes estiment que Microsoft pourrait dégager entre 840 millions de dollars et 6,7 milliards de dollars de revenus par an avec la sortie d'Office pour iPad.
L'abonnement à Office 365 Home Premium est facturé 100 dollars par an en version grand public. Pour les entreprises, les tarifs démarrent à 60 dollars par an et par utilisateur, en fonction des usages.
"L'ère de Nadella chez Microsoft est un bon début, car le vétéran du logiciel semble faire preuve d'ouverture dans sa stratégie et sa vision tout en essayant de s'éloigner du statu quo, ce qui représente une bouffée d'air frais pour les investisseurs", a déclaré Daniel Ives de FBR Capital Market.

samedi 22 mars 2014

Il y a encore de la place en haut....

Présidente de Constance Associés et gérante du fonds Constance AmericaVirginie Robert est confiante sur la reprise économique des Etats-Unis, au-delà de l'impact ponctuel d'un hiver particulièrement rigoureux. Si elle juge les actions américaines déjà bien valorisées, avec une forte expansion des multiples sur les douze derniers mois, elle estime qu'elles devraient continuer d'offrir des retours corrects aux investisseurs.

Que faut-il faire de ses actions américaines, si elles sont déjà bien valorisées ?

Virginie Robert : Elles devraient continuer de générer d'assez bons retours aux investisseurs, mais à certaines conditions. D'abord, la remontée des taux d'intérêt devra rester sous contrôle. Jusqu'à présent, la Réserve fédérale américaine a bien géré le timing de sa communication et celui du début de la réduction des rachats d'actifs.  Le niveau du chômage, son critère d'intervention jusqu'à présent, baissera bientôt sous 6,5%, sans que le taux directeur soit pour autant relevé. Compte tenu d'une inflation encore sage, en dépit de la reprise économique, l'institut d'émission dispose de temps avant de procéder à un premier tour de vis. Deuxièmement, la croissance bénéficiaire des entreprises doit rester suffisante. Elle devrait ressortir à près de 7-8% cette année. Cependant, certains secteurs feront mieux que d'autres. D'où l'intérêt accru du stock picking (sélection de valeurs au cas par cas), après une année de hausse généralisée des valeurs américaines… Enfin, Wall Street serait soutenue par une accélération de l'investissement privé outre-Atlantique, l'économie étant encore trop dépendante de la consommation. Les opérations de fusions et acquisitions constitueront un soutien aux marchés d'actions. 

lundi 17 mars 2014

Healthbook

"Whether Healthbook is released as part of iOS 8 or as part of a new hardware ...iWatch"

iphone de pauvre

Comment faire pour baisser le prix de l'iPhone 5C sans risquer de déstabiliser le business modèle iPhone ? Apple va réutiliser une vieille recette pour y arriver en lançant un modèle doté de seulement 8 Go de Flash.


jeudi 13 mars 2014

The Five Worst DJIA Stocks So Far in 2014 / 5 gros monstres

Boeing Co. (NYSE: BA) 
down 8.9% 
General Electric Co. (NYSE: GE)
 down 8.2%
Travelers Companies Inc. (NYSE: TRV) 
down 8.2%
Chevron Corp. (NYSE: CVX)

 down  7.4%
AT&T Inc. (NYSE: T)
down 6.3%.

mardi 25 février 2014

Comparaison rapide


TESLA 
market cap / 30 Milliards $
résultats dernier trimestre  / -16 Millions $
dividendes / 0 $
ventes véhicules / 22 000 AN


GENERAL MOTORS
market cap / 58 Milliards
résultats dernier trimestre / +913 Millions $
dividendes / 3,3%
ventes véhicules / 13 700 JOUR

QUESTION; Comment Tesla peut valoir la moitié de GM ?



IPO interessants à venir en 2014


Alibaba
The Alibaba IPO has been in the works for years. The China-based e-commerce group offers business-to-business, online retail and processing services. Yahoo! Inc. (NASDAQ: YHOO) will be a key winner if Alibaba makes it to the stock market due to its large stake. Japanese telecom and Internet company Softbank is an owner as well.
Founded in 1999, Alibaba has become a key global player. According to an early 2013 article in The Economist, analysts forecast an IPO value of $55 billion to more than $120 billion. Hong Kong regulators nixed Alibaba’s IPO ambitions there, so the company may go public in the United States instead. It is not unusual for Chinese companies to decide to list in America over China, but it is somewhat ironic that listing standards for public companies are less strict in the U.S. than they are in China.

 GoPro
GoPro has adapted video cameras to the needs of the active, or extreme, sports enthusiast. Skydivers, rock climbers, cyclists and many others are attaching GoPro cameras to their helmets to film their adventures. The company filed confidentially for the IPO with the U.S. Securities and Exchange Commission (SEC), but it will reportedly seek to raise about $400 million — the total market value could be in excess of $2 billion. In an interview last year with Forbes, founder Nick Woodman said the company sold 2.3 million cameras in 2012 for a total of around $521 million. Revenue has reportedly doubled every year since its 2004 founding. This is a hot product, but investors should remember that one-product companies, with just a few related products, often go through severe swings in their business cycle — and that some of those swings could be very unpleasant. GoPro could be public by the time summer gets here.

 GE Consumer Lending
The GE Consumer Lending unit is expected to go public in 2014. The exact timing has not been worked out, but it could be as soon as the second quarter of this year. Parent company General Electric Co. (NYSE: GE), which aims to be valued as an industrial conglomerate rather than an eclectic mix of half-bank and half-industrial companies, has wanted to get this transition out of the way for some time. GE CEO Jeff Immelt even went as far as to name CFO Keith Sherin as CEO of the unit. This IPO will be made up of the company’s North American retail finance business. The unit first filed with the SEC in late 2013. GE’s exit will be a two-step process. First, to be a tax-free spin-off, the consumer finance unit will act like a tracking stock, with a low float of close to 20% initially. GE shareholders then likely will be distributed shares in the unit — this year or next.

 Gilt Groupe
Gilt Groupe operates a live, online daily deals site that has been speculated upon as an IPO hopeful for quite some time now. Perhaps the Groupon IPO got in the way, or maybe Zulily also beat Gilt to the IPO market. For whatever the reason this has not yet come public, we have been awaiting this one with no confirmed IPO plans as of yet. But several market pundits, including Jim Cramer of TheStreet and CNBC, have spoken highly of this site. What is different about Gilt, compared to other deals sites, is its clearance of designer label items. The company also claims to have as many as 200 group sales per week. Gilt buys vendor inventory at deep discounts and then sells those items directly to its members, who are constantly looking for key flash sale deals. IPO chatter for this company has resumed of late, with investors expecting an IPO as soon as late spring or early summer. Gilt was founded in 2007, and as of May last year it had 7 million customers.

 Glassdoor
Glassdoor has not yet filed for an IPO, but a $50 million round of venture capital late last year has sparked speculation that the online jobs and career resource site will likely file for one soon. In all, the company raised nearly $93 million since its start from investors Tiger Global Management and Dragoneer Investment Group, among others. Glassdoor offers job seekers access to peer-oriented reviews of companies, salary comparisons and interview reviews. According to a press release, Glassdoor has more than 22 million members and data on nearly 300,000 companies in 190 countries. Glassdoor recently ranked 243 in traffic among all U.S. websites, according to online audience measurement tool Alexa.

Etsy
Founded in 2009, Etsy reportedly has been profitable since 2009. The company is the most visible online market for handmade crafts and goods. The site allows independent artists, craft workers and others to sell their products, as well as vintage goods, directly to the public. Without this company there would probably be no major Internet outlet for this growing market segment. A whopping 88% of its sellers in the United States are women, and about one in five are selling their creations full time. Listings cost only two cents, and the site takes an additional 3.5% of the transaction sum. The company claims a current membership of more than 30 million, with more than 20 million items listed for sale. In January, the company’s CEO Chad Dickerson told Fox Business that an IPO could be on the horizon but underscored the company is still being built.


 Party City
Party City is another private equity-sponsored IPO on deck. The company, which used to be public, is the largest party goods retailer in the United States and is backed by Thomas H. Lee Partners. The filing is reportedly for up to $500 million in stock. This company dates back to 1947 and, including independent party supply stores and retailers, it has thousands of outlets. It currently has almost 900 permanent party goods stores and also has approximately 350 temporary Halloween stores. Goldman Sachs, Bank of America Merrill Lynch and Credit Suisse were named the lead underwriters for the IPO.



mercredi 5 février 2014

bon texte...

Ces derniers temps, en construisant de grands centres de données aux Etats-Unis et en prévoyant d'en mettre d'autres ailleurs comme en Europe, Apple a montré sa volonté de gagner énormément en capacités de serveurs.
Aux dernières nouvelles la société a aussi tout fait pour assurer une interconnexion très importante de ces serveurs à internet. Elle aurait réservé des quantités de bande passante énormes aux prestatatires proposant ces services.


Si Apple a un besoin de plus en plus important en bande passante pour iTunes, ses mises à jour de logiciels (particulièrement peu optimisées en taille) et ses App Store, des spécialistes pensent que tout ça est destiné à un usage encore plus large et orienté TV. On n'en est qu'au début mais Apple a visiblement de très grandes ambitions dans ce domaine.
On avait certes longtemps parlé d'un téléviseur frappé d'une pomme, mais cette piste nous semble maintenant froide par rapport à une évolution profonde de son Apple TV, qui va gagner en intelligence, en autonomie et en fonctions, assez pour devenir un iPod de la télévision peut-être.
Pour finir, sachez qu'Apple semble aussi vouloir se passer de certains intermédiaires comme Akamai. Pour cela il lui faut tisser une importante toile de centre de données et de système de cache, ce qui ne se fera pas en un jour. Mais Apple a des moyens financiers pratiquement illimités et pourrait même si elle le souhaitait lancer une constellation de satellites de télécommunication... Nous pensons même qu'un jour la société le fera pour s'affranchir de tout intermédiaire entre elle et ses clients.

mardi 4 février 2014

MAT.nyse


Sales of Barbie, the popular doll franchise started in 1959, fell 13% in the fourth quarter. Holiday demand for Barbie is critical to parent Mattel Inc., shares of which paid the price for the fall off.
Mattel’s fourth-quarter sales dropped 6% to $2.11 billion. For the year, revenue was flat at $6.48 billion. For all intents and purposes, the huge toy company is stuck in neutral.

Mattel did not give a reason for the sharp drop in Barbie sales. However, several developments in the way that children spend their time could be ongoingBarbie’s largest weakness is probably that it is still a “toy” in a world where children spend hours with interactive games, texting and participating in social networks. The major attraction of Barbie has stayed mostly the same over the decades. The doll has a closet full of outfits and beauty products, which is not much compared to the hundreds of games that youngsters play on smartphones and tablets.Depending on the study, Americans spend 10% to 15% of their waking hours online. It is generally assumed that this figure is higher among young people than older ones who grew up in a period before Facebook and Twitter. The migration of people to the use of portable devices in no less impressive. Nearly 300 million Americans have wireless subscriptions. As superfast 4G networks proliferate, the abilities of these devices as multimedia platforms and game devices grow.
Some of the most downloaded free apps are aimed at girls. Among them is Covet Fashion, an online dress up game. Another is Eye Make Up Salon, an app that lets girls prepare themselves for a variety of “parties.” Not only are these games interactive, they do not require a trip to a store and the price of traditional toy.
Barbie has begun to die off, and if there is a single major culprit it is that there are better “toys” for young girls online that they can play with as they spend hour after hour on Facebook while texting.

mardi 28 janvier 2014

La chute des indices la semaine dernière ne vient pas des craintes de "tapering* accéléré" ou d'une soi-disant mauvaise saison des résultats aux USA. La panique provient des craintes de voir ressurgir une nouvelle crise des pays émergents, comme en 1997. Rumeurs de défaut de paiement de l'Argentine, chute de la lire turque, plus bas 5 ans sur le rouble russe, plongeon du rand sud africain et du réal brésilien. Le risque se situe là. 
Les monnaies de certains grands pays émergents poursuivaient leur chute libre lundi, plombées par des situations économiques locales difficiles mais surtout impuissantes face à la Réserve fédérale américaine dont une décision de politique monétaire est attendue mercredi.

*La définition du verbe anglais "to taper" est assez explicite : une baisse progressive, graduelle. Pourtant, l’hypothèse que la Fed puisse réduire progressivement le rythme de ses achats d’obligations a considérablement accentué la volatilité sur les marchés financiers.



mardi 14 janvier 2014

Les voleurs connaissent la valeur des choses

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made in Québec


PasswordBox, de Montréal, a remporté la compétition des applications mobiles du Consumer Electronics Show de la semaine dernière.
Logo de PasswordBoxPasswordBox, une entreprise québécoise qui offre une solution de gestion sécurisée de mots de passe, a vu son application éponyme été nommée « meilleure application mobile », pour la version Android de son application.
PasswordBox a obtenu ce prix lors d’une compétition qui a eu lieu dans le cadre de la foire commerciale Consumer Electronics Show (CES), à Las Vegas, aux États-Unis.
L’application PasswordBox a été choisie parmi une quarantaine de participants. Les applications ont été mises à l’essai au début du mois de décembre dernier, et ensuite elles ont été testées par un panel composé de journalistes en technologies, de consultants et d’examinateurs.
L’application PasswordBox pour les appareils mobiles, qui offerte pour les systèmes d’exploitation iOS d’Apple et Android de Google, permet d’enregistrer les mots de passe afin que ceux-ci soient synchronisés avec la plupart des navigateurs web sur plusieurs ordinateurs ou appareils mobiles à la fois.
PasswordBox permet aussi aux utilisateurs de partager l’accès à leurs comptes avec des tierces parties sans divulguer leur mot de passe. Une fonction « héritage numérique » permet aussi de confier les mots de passe à une personne de confiance, au cas où quelque chose arrivait à l’utilisateur.
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Actionnaires;
Daniel Robichaud, M-A Ross, Magaly Charbonneau et...
OMERS VENTURES
http://www.omersventures.com
Si cette compagnie entre en bourse....j'embarque

vendredi 10 janvier 2014

XBI

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Le SPDR S&P Biotech ETF s'envole grâce à Intercept Pharmaceuticals ICPT.nasdaq et son traîtement efficace d'une maladie du foie.
Le stock est passé de 75$ à 490$ en quelques jours.

Voilà qu'il y a dans ce ETF des bio-pharmas qui peuvent faire parler d'elles en 2014....


....en voici 3




Arena Pharmaceuticals ARNA.q Arena’s approved obesity drug Belviq has started to show promise in recent weeks and Jefferies has a $12 price target on the shares while Thomson/First Call sees $8.Split the difference and call that $10 and Arena still offers significant upside from Thursday’s close just over $6. The stock is almost 1.5% of XBI’s weight.
Then there is Galena Biopharma GALE.q , which  Wall Street said “may be the home run that biotech investors are looking for. The web site went on to note that Galena could be a takeover target and that volume has recently been increasing in the name. The latter point is certainly accurate as Galena’s turnover was more than triple the daily average Thursday. The stock is XBI’s third-largest holding at a weight of 2.11%.
Novavax NVAX.q has six drugs currently in trial, a $7 price target from Piper Jaffray and a consensus target of $10,  Wall Street. Split the difference and call that $8.50 and Novavax could offer about 60% upside from Thursday’s close of $5.18. Novavax accounts for almost 1.9% of XBI’s weight.

S5 vite.... avant l' iPhone 6


SAMSUNG GALAXY S5 : ALUMINIUM, SCANNER DE RÉTINE, ET ULTRA HD ?


Le prochain Galaxy S5 de Samsung sera dévoilé à la fin février, au salon mondial du mobile à Barcelone. C'est ce qu'a confirmé d'un hochement de tête Dong-hoon Chang, directeur du département du design, au site coréen iNews24.
Ce vice-président de Samsung évoque également une sortie du nouveau smartphone pour le mois de mars, voire avril. Information confirmée par Lee Young Hee, directeur de la branche mobile de Samsung, qui évoque à Bloomberg une sortie du Galaxy S5 "autour de mars-avril".

La plus grosse nouveauté du Galaxy S5 devrait résider dans son nouveau design, qui trancherait avec ses prédécesseurs, qui abordent tous une coque en plastique. Dong-hoon Chang a ainsi assuré que les rumeurs circulant sont vraies, notamment "l'examen de différents matériaux" pour la coque.
Plusieurs titres de la presse spécialisée affirment ainsi que Samsung a décidé d'abandonner la coque en plastique (polycarbonate) pour lui préférer l'aluminium. Le blog NoWhereElse dévoile ainsi des photos d'un cadre métallique qui équiperait le futur Galaxy S5.