Opinion & investing ideas
AutoChina has reviewed the SEC’s complaint and believes that it is without merit. The Company intends to defend against the claims vigorously and believes that all of the evidence it is aware of contradicts the SEC’s allegations. AutoChina continues to work closely with its legal counsel and advisors to defend the Company.
U.S. coal exports reached their highest level in two decades last year as strong demand from Asia and Europe offered an outlet for a fuel that is falling from favor at home.
U.S. Department of Energy data analyzed by The Associated Press reveal that coal exports topped 107 million tons of fuel worth almost $16 billion in 2011. That's the highest level since 1991, and more than double the export volume from 2006.
The AP's analysis showed coal exports to South Korea leapt 81 percent last year to more than 10 million tons. India saw a 65 percent jump, to 4.5 million tons. And Japan bought almost 7 million tons of U.S. coal last year — a 119 percent increase — as the nation sought alternatives to nuclear power after an earthquake and tsunami prompted the Fukushima nuclear complex meltdown.
Travelzoo Inc , a publisher of travel newsletters and websites that has seen its shares plunge 75 percent since July last year, is planning to sell itself, three people familiar with the matter said.
The New York-based Internet company, which provides travel deals on flights, hotels, vacation packages and cruises, is in the process of hiring a financial adviser, the sources said. The company has a market value of $336.1 million.
Travelzoo's move comes after it received takeover interest from private equity firms and trade buyers, the sources said.
The list of potential buyers could include Amazon and Google Inc , which bought travel technology company ITA Software last year, said Dan Kurnos, a research analyst as The Benchmark Company.
The sources said online travel website ODIGEO, which is owned by AXA Private Equity and Permira, could also be a likely buyer.
Travelzoo, Amazon and Google declined to comment. AXA and Permira were not immediately available for comment.
The shares of Travelzoo, which competes with Expedia Inc , Priceline.com Inc and Groupon Inc , have been hurt by at least two quarters of disappointing results over the last nine months.
In July 2011, Travelzoo saw its shares plunge more than 30 percent after it missed analysts estimates, hurt by higher costs and lower-than-expected growth at its European newsletter business.
Recently, Travelzoo entered the local deals market, allowing subscribers to purchase vouchers from local businesses such as spas, hotels and restaurants, and putting it in direct competition with online coupon websites such as Groupon.
But Travelzoo's more than 24 million subscribers in North America, Europe and Asia-Pacific, and its depressed stock price, could prove to be an attractive proposition for buyers.
Avec la sortie au cinéma de « Battleship » demain en Europe et au Etats-Unis en mai, n'est pas un enjeu seulement pour les studios Universal, qui espèrent toucher avec ce film à grand spectacle un large public. Hasbro, le numéro deux mondial du jouet derrière Mattel, mise gros lui aussi. Il s'agit du premier long-métrage réalisé en partenariat entre le fabricant américain et Universal. Réalisé par Peter Berg, et interprété notamment par Liam Neeson et la chanteuse Rihanna, il est inspiré de « Touché coulé », un jeu de société lancé par Hasbro il y a une vingtaine d'années. Surtout, le fabricant va profiter de l'événement pour commercialiser 4 jeux ayant pour thème la bataille navale. Une gamme rebaptisée « Battleship » avec, notamment, une version électronique.
L'opération illustre la nouvelle stratégie de Hasbro. « Il s'agit d'utiliser des films ou des séries télévisées pour vendre plus de jouets, mais aussi de se développer via des licences des produits dérivés, comme des T-shirts », explique la direction. Hasbro compte aujourd'hui plus de 1500 marques, dont 150 seulement ont une audience mondiale, comme Monopoly, Littlest Pet Shop ou Transformers. L'idée est donc d'exploiter au mieux leur notoriété pour soutenir le chiffre d'affaires, donc les profits, étales depuis quelques années.
Pour cela, le groupe est allé jusqu'à créer mi-2009 un studio en Californie, chargé de produire des dessins animés. La série « My Little Pony », qui en est notamment sortie, fait un tabac avec le petits. Les équipes travaillent sur un nouveau projet avec en vedette les little Pet Shop. Sortie prévue en 2013. Avec un objectif, relancer les ventes, qui se tassent, de ces petites figurines, après un succès phénoménal.
L'engouement pour les toupies Beyblade depuis deux ans démontre l'impact des séries sur les enfants. Après une première série Beyblade produite par les studios canadiens Nelvana et d-rights en 2002, une deuxième a été lancée en 2010-2011. Rien qu'en France, elle a obtenu une part d'audience de 32 % en moyenne sur les 4 à 10 ans. Résultat pour Hasbro, qui exploite la licence : 100 millions de toupies vendues dans 50 pays. La réflexion est en cours pour vendre sous la marque Beyblade de nouveaux produits et contenus. Une saison 3 serait aussi en préparation.
Initiée en 2007, avec la sortie du premier film « Transformers », cette stratégie porte ses fruits. « Les gammes de jouets soutenues par le divertissement devraient représenter près de 40 % des ventes de Hasbro cette année, contre 25 % en 2011. Surtout, elles vont contribuer pour moitié à la croissance de la compagnie en 2012 »,Le nouveau « Spiderman », prévu en juillet, devrait lui aussi donner un coup de fouet à l'activité d'Hasbro, qui détient la licence.
A trois semaines de la date présumée de son introduction «historique» sur le Nasdaq, Facebook s'est offert la plus grosse acquisition de son histoire. Brisant une tradition de priorité à la croissance interne, le fondateur de Facebook, Mark Zuckerberg, a jeté son dévolu sur Instagram... le réseau social visuel de retouche et de partage de photos sur réseaux sociaux et mobiles. Jusqu'ici disponible sur iOS, Instagram (30 millions d'utilisateurs) a récemment lancé ses applications sur le système d'exploitation Android.
«Désormais, nous allons travailler étroitement avec Instagram pour offrir les meilleures expériences de partage de photos sur mobiles avec des gens qui ont des intérêts communs», s'est félicité hier Mark Zuckerberg dans un message sur Facebook, tout en s'engageant à aider la jeune société à croître de manière «indépendante».
Fondée dans la Silicon Valley par Kevin Systrom et Mike Krieger en octobre 2010, Instagram a déjà levé 7 millions de dollars auprès de Benchmark Capital et de plusieurs investisseurs privés tels que Jack Dorsey de Foursquare et Adam d'Angelo de Quora, en février. Grâce à son application disponible sur mobiles (iPhone ou mobiles Android, iPad ou iPod), on peut partager ses photos avec ses abonnés Facebook et Twitter et les identifier avec des mots-clés, comme sur le réseau social Twitter. L'application n'est pas vraiment présente sur le web, à l'exception d'une vitrine invitant les internautes à s'abonner.
