Le début du mandat du gouvernement actuel, vers 2004, a marqué le point de départ d'une politique de libéralisation économique. Un programme de privatisations a été mis en œuvre, réduisant ainsi le poids de l'Etat dans l'économie. De nombreuses terres ont été rendues disponibles, ce qui a permis un boom de la construction. Le taux d'imposition a été réduit pour les revenus et les sociétés. La déréglementation et la mise en œuvre des réformes se sont traduites par une explosion des flux d'investissements directs étrangers, notamment en provenance d'Europe et du Golfe, et une élévation du taux de croissance du produit intérieur brut.
Pour les prochaines années, on peut s'attendre à une poursuite des privatisations. Le gouvernement devrait favoriser les partenariats public-privé pour le lancement de vastes projets d'infrastructures, comme des usines de traitement des eaux, des ports, des routes et des hôpitaux. La législation sera modifiée pour protéger ces partenariats, pour lesquels les acteurs locaux pourront s'unir aux investisseurs étrangers.
Les perspectives de croissance se sont améliorées. Les bénéfices des entreprises cotées devraient en effet progresser entre 15% et 20% en moyenne au cours des prochaines années. Par ailleurs, la mise en œuvre de nouvelles réformes se traduirait par un surcroît de performance boursière.
------------------------------------------------------------
Zoulouhunter a trouvé ! bravo...
5 commentaires:
la Chine ??
non
La grèce
Le pays de Cléopatre...Beau être merveilleux, j'irais pas y rester! À moins d'y aller avec Obélix.
Zoulouhunter bravo !
Enregistrer un commentaire