Connu notamment pour ses marques haut de gamme St. Regis , W, Westin, Le Meridien et Sheraton, le groupe américain accélère son développement, porté par la demande des nouvelles clientèles des grands pays émergents.
L'hôtellerie de luxe reste plus que jamais un segment "porteur" alors même que l'économie américaine peine à se redresser et que l'Europe apparaît menacée par une nouvelle récession.
Le patron du groupe américain se base sur un fait: «la demande reste porteuse», déclare-t-il dans un entretien accordé à la presse Européenne, durant l'inauguration hier du nouvel hôtel 5 étoiles St. Regis de Florence. «Le voyage d'affaires, qui génère 75% de notre activité, va bien, tandis que l'activité demeure forte pour les déplacements de loisirs». Il précise aussi que, «en Espagne, en Italie et en Grèce, nos hôtels fonctionnent bien. Il en va de même sur les grandes destinations internationales que sont Londres, Paris, ou Shanghaï». Frits van Paasschen souligne le spectaculaire développement des clientèles des grands pays émergents.
Ayant une politique financière de "désendettement", Starwood Hotels est «plus agressif» en terme de développement, pour cause justement de boom de la demande dans les pays émergents. «Nous ouvrons de 80 à 90 hôtels par an depuis trois ans, dont 70% dans ces nouveaux marchés», continue Frits van Paasschen. En Chine, l'opérateur américain parle d' «accélération». Avec 74 hôtels aujourd'hui, il compte en construire une centaine d'autres dans les trois à cinq années à venir. En 2011, le groupe aura ouvert un hôtels tous les 15 jours, la Chine s'affirmant désormais comme le deuxième marché de Starwood Hotels après les Etats-Unis.
«Nous avons aujourd'hui autant de chambres en Asie que dans la zone Europe-Moyen Orient-Afrique», indique le patron de Starwood Hotels, qui mise aussi sur les déplacements internationaux des Chinois et, d'une manière générale, de ces nouvelles clientèles des pays émergents.
Le patron du groupe américain se base sur un fait: «la demande reste porteuse», déclare-t-il dans un entretien accordé à la presse Européenne, durant l'inauguration hier du nouvel hôtel 5 étoiles St. Regis de Florence. «Le voyage d'affaires, qui génère 75% de notre activité, va bien, tandis que l'activité demeure forte pour les déplacements de loisirs». Il précise aussi que, «en Espagne, en Italie et en Grèce, nos hôtels fonctionnent bien. Il en va de même sur les grandes destinations internationales que sont Londres, Paris, ou Shanghaï». Frits van Paasschen souligne le spectaculaire développement des clientèles des grands pays émergents.
Ayant une politique financière de "désendettement", Starwood Hotels est «plus agressif» en terme de développement, pour cause justement de boom de la demande dans les pays émergents. «Nous ouvrons de 80 à 90 hôtels par an depuis trois ans, dont 70% dans ces nouveaux marchés», continue Frits van Paasschen. En Chine, l'opérateur américain parle d' «accélération». Avec 74 hôtels aujourd'hui, il compte en construire une centaine d'autres dans les trois à cinq années à venir. En 2011, le groupe aura ouvert un hôtels tous les 15 jours, la Chine s'affirmant désormais comme le deuxième marché de Starwood Hotels après les Etats-Unis.
«Nous avons aujourd'hui autant de chambres en Asie que dans la zone Europe-Moyen Orient-Afrique», indique le patron de Starwood Hotels, qui mise aussi sur les déplacements internationaux des Chinois et, d'une manière générale, de ces nouvelles clientèles des pays émergents.
L'inauguration du St Regis de Florence témoigne de la volonté de l'Américain de conforter une position de chef de file dans l'hôtellerie de luxe avec trois marques complémentaires: Luxury Collection, une offre relevant de la tradition des grands établissements européens; St Regis, une enseigne combinant tradition et innovation technologique; enfin, W, un concept résolument contemporain.
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